Au cours du trajet d’abord à pied puis en camion vers le camp N° 3 situé dans le nord de la péninsule coréenne.
Dans le camp, ce fut d’abord des interrogatoires « musclés », puis l’endoctrinement quotidien à la cause communiste.
Le régime alimentaire se limitait à du riz et un bol de soja le soir, dans le meilleur des cas un morceau de pain accompagné d’eau chaude comme boisson. »
Le 28 août 1953, à sa libération suite aux accords de Pam Mumjom, Bésamat ne pesait plus que 53 kilos. Il en avait perdu 21 en 11 mois de captivité.
PRISONNIERS FRANÇAIS EN CORÉE
par Charles MARTEL et Georges PERRUCHE, Cahiers d’Histoire Sociale N°3, Albin Michel 1994.
Deux diplomates français, faits prisonniers à Séoul en 1950 par les Nord-Coréens.
MA CAPTIVITÉ EN CORÉE DU NORD
par le Révérend Père COYOS, Grasset 1954.
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